Kenneth Juror | Kenya
Quand nous discutions ce sujet au forum consultatif sur
les bien faits contre l’élimination du VIH/SIDA au pays. Ce sujet étais discuté
avec trop d’arrogance et aussi ignorance parce des participants ne comprenaient
pas pourquoi les Luos avaient ce type de culture. Cependant, chacune culture a
ses valeurs et traditions.
Après
l’enterrement
Parmi les Luos, après avoir une femme a fait les
funérailles de son mari elle est si permettre de porter le deuil et plus tard
elle va choisir la personne qui va l’hériter parmi les beaux-frères qui sont
mariés. L’héritier doit être marié parce que c’était obligatoirement. L’héritier est
bien connu comme Jater.
Avant « des nouvelles » est donné au Jater,
elle (la veuve) demanderait la permission de l’épouse de Jater à son intention
d’être mariée, c’était rare pour un homme de refuser. Si la veuve ne trouve pas
la personne qu’elle veut parmi les beaux-frères alors elle peut opter pour un
étranger, quelqu’un qui n’a pas de relation familiale, celui est connu comme Jak Owiny. Jak owiny n’était pas si accepté parce des sages avaient le point de vu que c’était
commercialiser l’héritage des femmes contre les traditions.
Les raisons et le monde actuel du VIH/SIDA
· Continuer lignée familiale de mort. Un enfant né dans une
telle union, si un garçon, il sera
appelé du nom du mari défunt
et si une fille alors
la mère du défunt.
· L'héritier devait présider - go kom piny, des
négociations dot des enfants du décédé
et en plus son rôle est de gonyo dhok - la délivrance des
vaches au fils du
défunt dans au cadre du paiement
de dot. Cela a été perçu comme une grande bénédiction et c’était
exclusivement aux hommes. Une
femme ne peut jamais gonyo dhok.
· Il devait protéger et aussi prendre soin de la veuve car le clan se méfiait des femmes impudiques.
La veuve devait être hérité, en effet si elle n'est pas alors, elle ne peut pas cultiver
la terre parce que c’était une affaires des couples si l'un n'est
pas là, alors l’autre ne peut pas ensemencer tout seul
jusqu'au moment où elle est héritée.
Ce sont les très nobles manières qui constitue la culture qui est actuellement mal compris, comme de nombreux de gens y fait pour profiter et aussi de
gaspiller la richesse laissés de
décédé. Il en a
contribué de nombreux décès du VIH / SIDA, mais idéalement, il était pour le bien commun de tout dans la société.
La culture n’est jamais comparable ni examinée au regard de l’objectif de
votre propre culture. Chacune de nos cultures
devraient être bien comprise et
appréciée exclusivement, à la fin que nous soyons ouvert et de plus il faut que
nous soyons intéressé à connaître nos différentes cultures pour le but
d’éliminer les préjugés que nous avons pour se bien déplacer et être un citoyen
national / mondial.
J'adore ce que tu ecris..c'est tres bien ..on ne savait pas la culture dholuo par exemple..la tu m'as donner qq idée..merci
ReplyDeleteOui c'est la culture et nous sommes biensur une meilleure reflexion de nos culture. C'est mieux a la comprendre. Merci pour ton avis
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