Monday 8 October 2012

L’héritage des femmes parmi les Luos



Kenneth Juror | Kenya

Quand nous discutions ce sujet au forum consultatif sur les bien faits contre l’élimination du VIH/SIDA au pays. Ce sujet étais discuté avec trop d’arrogance et aussi ignorance parce des participants ne comprenaient pas pourquoi les Luos avaient ce type de culture. Cependant, chacune culture a ses valeurs et traditions.  
      
Après l’enterrement 

Parmi les Luos, après avoir une femme a fait les funérailles de son mari elle est si permettre de porter le deuil et plus tard elle va choisir la personne qui va l’hériter parmi les beaux-frères qui sont mariés. L’héritier doit être marié parce que c’était obligatoirement. L’héritier est bien connu comme Jater

Avant « des nouvelles » est donné au Jater, elle (la veuve) demanderait la permission de l’épouse de Jater à son intention d’être mariée, c’était rare pour un homme de refuser. Si la veuve ne trouve pas la personne qu’elle veut parmi les beaux-frères alors elle peut opter pour un étranger, quelqu’un qui n’a pas de relation familiale, celui est connu comme Jak Owiny. Jak owiny n’était pas si accepté parce des sages avaient le point de vu que c’était commercialiser l’héritage des femmes contre les traditions.    
  
Les raisons et le monde actuel du VIH/SIDA 

·  Continuer lignée familiale de mort. Un enfant né dans une telle union, si un garçon, il sera appelé du nom du mari défunt et si une fille alors la mère du défunt.
· L'héritier devait présider - go kom piny, des négociations dot des enfants du décédé et en plus son rôle est de gonyo dhok - la délivrance des vaches au fils du défunt dans au cadre du paiement de dot. Cela a été perçu comme une grande bénédiction et c’était exclusivement aux hommes. Une femme ne peut jamais gonyo dhok.
· Il devait protéger et aussi prendre soin de la veuve car le clan se méfiait des femmes impudiques. 

La veuve devait être hérité, en effet si elle n'est pas alors, elle ne peut pas cultiver la terre parce que c’était une affaires des couples si l'un n'est pas là, alors l’autre ne peut pas ensemencer tout seul jusqu'au moment où elle est héritée.

Ce sont les très nobles manières qui constitue la culture qui est actuellement mal compris, comme de nombreux de gens y fait pour profiter et aussi de gaspiller la richesse laissés de décédé. Il  en a contribué de nombreux décès du VIH / SIDA, mais idéalement, il était pour le bien commun de tout dans la société.

La culture n’est jamais comparable ni examinée au regard de l’objectif de votre propre culture. Chacune de nos cultures devraient être bien  comprise et appréciée exclusivement, à la fin que nous soyons ouvert et de plus il faut que nous soyons intéressé à connaître nos différentes cultures pour le but d’éliminer les préjugés que nous avons pour se bien déplacer et être un citoyen national / mondial.

2 comments:

  1. J'adore ce que tu ecris..c'est tres bien ..on ne savait pas la culture dholuo par exemple..la tu m'as donner qq idée..merci

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  2. Oui c'est la culture et nous sommes biensur une meilleure reflexion de nos culture. C'est mieux a la comprendre. Merci pour ton avis

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